Conclusion
La législation française évolue et les nombreuses entreprises et laboratoires de cosmétiques doivent s’adapter à celle-ci. Après l’interdiction de mener des tests de produits sur des animaux, les laboratoires se sont alors tournés vers la culture de peau.
Leurs recherches ont permis, au fil des années, de créer des modèles de plus en plus complexes.
En effet, malgré qu'il reste des progrès à faire, les modèles de peaux actuels possèdent
de plus en plus de fonctions.

Cela permet aux sociétés et entreprises de tester avec sureté leurs produits de cosmétiques.
Mais même si ces tests sont possibles, ils restent marginaux, en raison des coûts élevés et des limites techniques de ces cultures.

On peut donc conclure que la culture de peau in vitro a permis
d’améliorer les tests de cosmétiques mais que malgré cela, il reste encore
de nombreuses limites à ceux-ci.
Dans les années à venir, la culture in vitro fera certainement partie intégrante des questions de société. Des espoirs sont fondés sur de nouvelles découvertes et de nombreuses recherches se déploient pour cela.
Cependant, une question d’actualité reste au centre de ce débat : jusqu’où pourra se développer cette culture in vitro sans empiéter sur les vies humaines ?


                                             En vous remerciant de votre visite et de votre attention...

Lucie Croisier, Thibault Remy, Pierre Charpentier
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